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La presse en parle

Il n'y a pas de sparadraps pour les blessures du cœur

De François Szabowski

Collection : Fiction

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Avec un style mordant, poétique, parfois volontairement pédant, souvent hilarant, François Szabowski tisse une relation unique avec le lecteur, à mi-chemin entre détestation et affection pour un personnage qui n’a de cesse de redéfinir le monde qui l’entoure. Ponctué de géniales idées de narration (des résumés terriblement subjectifs en capitales, les titres des chapitres), « Il n’y a pas de sparadraps pour les blessures du cœur » ne ressemble à rien ni à personne, sauf peut-être à la silhouette impressionnante d’Ignatius Jacques Reilly, narrateur pédant et génial de « La conjuration des imbéciles ». Une digne lignée. (4 décembre 2013)

Richard Gaitet sur Radio Nova​ lit avec brio quelques pages du roman de François Szabowski​, « Il n’y a pas de sparadraps pour les blessures du coeur ». (c’est ici à la minute 42)

Le lecteur de ce fait se laisse peu à peu contaminer par la folie douce d’un personnage aussi mythomane en amour qu’il l’est dans le reste de sa vie et ce, jusqu’à un dénouement à la fois prévisible et inattendu. En bref, encore un pari réussi pour notre copiste.

(Beux – 02/01/2014)

François Szabowski a accordé un long entretien, sur son écriture, au site DraftQuest.

Extrait (sur la voix du narrateur): « Il faut s’inspirer de ça. De ces moments où on est obligé – et de cette envie qu’on peut avoir, au fond (valable aussi bien pour le comédien que pour l’écrivain), d’être quelqu’un d’autre. Et le tenir jusqu’au bout, l’espace d’un livre. »

La totalité de l’entretien peut être lue ici.

« Ce livre est un merveilleux divertissement. L’auteur nous décrit, dans un style mêlant préciosité amplifié et humour subtil, les aventures picaresques et pleines de rebondissements de son héros jamais en panne d’imagination. On suivra avec délectation, ses subterfuges improbables et ses coups du sort, qui l’entrainent dans des situations toujours plus cocasses. Cet être épris d’absolu se met toujours dans des situations extraordinaires et compliquées qui enrichissent l’histoire en péripéties toujours plus héroïques et passionnantes et tiennent le lecteur en haleine : où tous ça va-t-il encore le mener ? » (3 août 2013)

« Roi de la magouille, de la manipulation et de la mauvaise foi, le personnage de François nous épate, nous amuse et nous agace bien souvent.  » (15 septembre 2013)

« Doté d’une mauvaise foi érudite sans vergogne et de prétentions littéraires pour le moins douteuses, les picaresques aventures parisiennes de François Chabeuf ne sont pas sans rappeler les bouffonneries d’un certain Ignatius Jacques Reilly (La Confédération des imbéciles, John Kennedy Toole, 1980). » (10 octobre 2013)

« L’écriture est toujours aussi fluide et use d’un vocabulaire assez relevé tout en étant dans un style simple mais efficace. Sans vouloir offenser François le personnage, je dirais qu’il y a du Jeunet dans ce roman. » (20 juillet 0213)