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La presse en parle

Le Puits au bout du monde : La Route vers l'amour - ePub

De William Morris

Collection : Fiction

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« L’histoire défile à toute allure et l’on ne voit pas les pages se tourner lorsque l’on arrive à la fin de cette Route vers l’amour. Et alors, une seule chose nous vient à l’esprit : Vite, il me faut le livre 2 ! » (Un Ange noir, 15 juin 2013)

« Le Puits au bout du monde est un roman de chevalerie et de fantastique écrit sous la forme d’un joli conte, qui peut agréablement distraire et éduquer, sans prétention aucune, enfants, adolescents et adultes rêveurs. » (Rêveries littéraires, 17 avril 2013)

« J’ai lu Le Puits au bout du monde, et pour moi, c’est une synthèse extraordinaire entre le roman médiéval et le roman de fantasy moderne. C’est vraiment extraordinaire. » (Jean-Philippe JAWORSKI, 12 octobre 2013)

« Cette quête à un goût d’absolu, car le jeune homme refuse de lier son destin à quelques compagnie que ce soit et poursuit son but lointain…bien qu’une chose puisse le détourner de sa route : sa passion naissante mais déjà dévorante pour une magnifique magicienne dont on ne sait précisément si elle est sainte ou sorcière. Transition facile : si le roman développe le même univers chevaleresque et courtois que Le Lac aux Îles enchantées, il est bien moins manichéen, bien au contraire, la façon dont l’auteur brouille les pistes entre qui représente le bien et le mal et complique l’intrigue par le jeu des faux semblants tient presque du génie. » (Le blog de Kalev, mars 2013)

« S’il n’est pas le plus accessible des romanciers, la traduction gomme beaucoup des archaïsmes volontaires de son écriture en anglais, et sa lecture vaut largement d’être entreprise, tant elle redonne sens à des vocables galvaudés tels que « charme » ou « émerveillement ». Grand érudit et amateur de romans merveilleux médiévaux, Morris se place directement dans cette filiation, retrouvant un mélange de fraîcheur naïve et de profondeur de choses qui évoquent directement le conte et l’aventure chevaleresque.  » Anne Besson, in ActuSF.

« Le style de l’auteur, qui a probablement pris une sérieuse cure de jouvence de par sa traduction, est on ne peut plus classique et il est agréable de voir ce genre de titre apparaître sur nos rayons montrant la l’ancienneté des littératures de l’imaginaire. La couverture sobre tendra à faire découvrir cette oeuvre fantastique à un public plus classique et généralement peu encline à lire des romans qualifiés d’imaginaire. Je me souviens d’une participante à une débat sur la Fantasy qui indiquait que les couvertures fantasy habituelles la faisait fuir… Elle a du être entendue. ». (Fantastinet, février 2013)