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La presse en parle

L'histoire du loser devenu gourou

De Romain Ternaux

Collection : Fiction

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« Âmes sensibles à la recherche d’une romance, passez votre chemin ! Ce livre n’est pas pour vous. Nous avons ici du lourd que le graveleux n’effraie pas. Les plus gros délires n’ont pas effrayé l’auteur non plus. Mais cela ne l’a pas empêché de les orchestrer avec talent pour organiser une montée progressive partant d’un réel légèrement exagéré pour arriver à de l’invraisemblable. » (la suite, ici)

« Nous avons affaire à une critique de notre société dissimulée sous une grosse couche d’humour trash. » (la suite, ici)

« C’est hyper trash et cela tient le trash tout le temps et cela va nous chercher dans toutes nos limites. […] J’avoue, je me suis tapé la honte dans le tram car je rigolais tout seul. Cela faisait un moment! C’est un livre qui fait marrer mais qui en même temps est complètement immoral, hypertrash, Moi je le recommande, c’est une petite gâterie. Et on se dit que ce Romain Ternaux, qui est quelqu’un qui a beaucoup de second degré, et qui, comme son personnage, fait beaucoup de conneries, est quelqu’un à suivre. » (l’émission ici, en audio)

« Un roman carrément barré, plutôt trash sans être complètement hard-core: de l’humour gras, du contenu sexuellement explicite plutôt cru et des délires alcoolisés incroyables sur un ton léger, dans la bonne humeur . L’auteur déploie une imagination incroyable pour entraîner son personnage, un jeune écrivain raté alcoolique et à moitié puceau dans des péripéties complètement délirantes. Le rythme est parfois un peu rapide et certaines situations pas toujours évidentes mais le récit ne perd jamais réellement en intensité et débouche sur un dénouement final … »mysterieux ».« 

« Lorsqu’on ouvre L’histoire du loser devenu gourou, on sait qu’on va frôler la lecture boulimique, acharnée et passionnelle. Pas de grand chapitre, pas de section, rien. Tu ne respireras pas mon fils ! Il faudra lire, lire, lire. On mangera plus tard, on boira plus tard, on vivra plus tard. On n’aura plus rien à foutre du monde autour de nous. Tout le reste devra attendre, car pour l’instant, ce qui compte, c’est d’aller d’un bout à l’autre de ce récit écrit tout au présent. » (la suite, ici)

« L’Histoire du Loser Devenu Gourou est comme son ton, léger et cru à la fois. Si vous n’avez pas peur d’être choqué par le langage familier, souvent incorrect et parfois obscène de Romain Ternaux, ce roman devrait vous plaire ! » (la suite, ici)


ROMAIN TERNAUX Livrés à domicile
« C’est un loser, mais heureusement, sa mère lui trouve un boulot d’éboueur dans une secte. […] C’est très très drôle, c’est cynique, c’est immoral, c’est amoral, c’est un petit bonheur ». (la suite, ici, à la 48ème minute de l’émission)

« Un écrivain alcoolique se retrouve enrôlé dans une secte. A partir de ce fait, Romain Ternaux va user de tout son talent pour nous raconter les aventures rocambolesques, loufoques et surréalistes du narrateur de ce truculent roman . De l’humour et de la fantaisie, notre auteur est complètement allumé et tant mieux pense le lecteur. Boris Vian n’est pas très loin. »

« drôle et délectable… » (la suite ici)

« Ce que j’ai aimé, au milieu de ce qui pourrait être un vaste délire, c’est la satire de la société actuelle notamment autour de la manipulation et des croyances. Sans parler de la place de la sexualité nouvelle religion dans nos sociétés. Le masque des apparences est ici présenté au sens propre et figuré ! » (la suite, ici)

« Mais derrière cet aspect trivial, et souvent trash, se dessine une critique de notre société de consommation à outrance, à la facilité apparente. Le roman décrit cette nécessité constante d’avoir pour être, doublé du besoin paradoxal de croire en quelque chose qui nous dépasse, qui nous guide, tout en satisfaisant des besoins primaires. » (la suite, ici)

« un roman très drôle à condition d’aimer le trash, l’expression du vice sans tabou et les losers incapables d’entreprendre quelque chose sérieusement. J’ajoute que la fin du roman m’a particulièrement surprise puisqu’elle diffère du reste et permet de nombreuses interprétations » (la suite, ici)

« Parce que si le trash pouvait avoir des limites, Romain Ternaux les repousserait pas tous les moyens – et croyez-moi, ils sont nombreux ! En conséquence, la prévention est de mise: « âmes sensibles, s’abstenir ». Par contre si vous aimez l’alcool juste pour l’ivresse qui fait vomir, le sexe crade et la misère affective, foncez ! » (la suite, ici)

« Ce roman est une farce burlesque, une fable moderne loufoque, surréaliste et rocambolesque à souhait. Est-ce que ça tient la route ? Oui, le récit est maîtrisé de bout en bout et l’auteur sait où il emmène ses lecteurs. D’ailleurs, j’ai beaucoup ri, vraiment. » (la suite, ici)

« Si vous avez envie d’un moment de détente qui ne vous lâchera pas du début à la fin de votre lecture, alors c’est ce livre qu’il vous faut absolument. » (la suite, ici)

« Un délire alcoolisé extrêmement bien écrit qui nous plonge dans l’épopée nihiliste d’un loser de première … Mieux, on fait pas … Quoique, à bien y regarder … Je vous laisse découvrir la fin ouverte qui laisse place à l’imagination la plus débridée !!! » (la suite, ici)

« J’ai passé un très bon moment avec ce roman complètement déjanté. » (la suite, ici)

« Nous avons besoin du contraste pour éprouver la marque exceptionnelle de certains contentements. Par conséquent, catapulté de « rien » à « tout » d’un coup de baguette magique, le loser expérimente assez vite les inconvénients du sexe et de l’argent faciles. » (Gregory Mion, sur Critiques libres)

« Pas envie de vous prendre la tête, alors plongez-vous dans ce bouquin complètement délirant, improbable, dont l’humour glauque est plus qu’omniprésent. Ce jeune loser anti-héros nous emmène dans le monde de la dépravation manipulée, lui dont la libido ne pouvait être assouvie, il aurait dû être le Maître….. Mais la suite des événements n’est pas toujours celle que l’on pense. » (la suite, ici)

« le style déconnant se réveille dans cette seconde moitié qui fait la part belle à une savante forme d’excentricité où le crade entame un rock endiablé avec des scènes surréalistes où les personnages ont des réactions imprévisibles. Le vocabulaire et interjections familières passent nettement mieux, et c’est avec un plaisir non feint que le lecteur pourra se laisser entraîner jusqu’à un final haut en couleurs » (la suite, ici)