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La presse en parle

Un regard en arrière

De Edward Bellamy

Collection : Fiction

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« De quand date votre dernière lecture d’un best-seller ? La proposition vous est faite ici de vous emparer de la réédition d’un gros succès de librairie aux États-Unis, au XIXe siècle… Un regard en arrière est une lecture schizophrénique sur un éventuel futur qui est notre présent non avenu… […] une excellente nouvelle édition. » (la suite, ici)

« Un beau récit qui réserve des surprises, d’étranges liens entre le passé et le présent, entre le rêve et la réalité. » (La suite, ici)

Une critique drôle et enlevée de Rosa Abdaloff sur l’émission radiophonique la Salle 101 – c’est à partir de la dix-neuvième minute, mais TOUTE l’émission mérite une écoute attentive et religieuse. C’est ici.

« Une utopie à (re) découvrir et à lire en parallèle de « La Bombe » de Frank Harris (1908 et traduit pour la toute première fois en français aux éditions de ‘La dernière goutte’ par Anne-Sylvie Homassel), du ‘Talon de fer’ de Jack London (1908) et de ‘La jungle’, d’Upton Sinclair (1905) pour en saisir toute la portée, dans un contexte historique crucial pour les droits sociaux. » (La suite, ici)

« Saluons donc Aux forges de Vulcain, maison opiniâtre et méritante, qui a rendu au texte d’Edward Bellamy sa dignité et aux lecteurs un texte à lire sans faute dans une version agréable. […] Il était temps, du reste, que l’on nous restitue une version acceptable de ce roman devenu grand classique utopique. […] Dénonçant par contraste le capitalisme régnant à la fin de XIXe siècle, cette utopie du monde urbain et industriel mérite d’être lue comme une fable. Les enfants insoucieux que nous sommes y constateront quelques travers persistants. » (la suite, ici)

 

« Cette lecture ne cesse de nous contraindre à des allers-retours, flashbacks – flashforwards, herméneutiquement fructueux, dans une logique qui rejoint celle des uchronies et des futurs obsolètes, chers à Schuiten et Peeters par exemple. Souvent daté, et alors franchement savoureux (les concerts live comme seule façon envisageable d’écouter de la musique), parfois glaçant, dans son utopie mathématique comme dans l’écart déprimant entre les espoirs exprimés et la réalité de notre monde contemporain, le roman, finalement, a bel et bien traversé le temps… » (Anne Besson, Actu SF)