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Testament scolastique

De Max Buch

Collection : Essais


Résumé

Les Editions Aux forges de Vulcain sont fières d’avoir publié « Testament scolastique » de Max Buch, un pamphlet enlevé sur l’université. Les forges, dès leur création, se sont définies comme « productrices de textes », revendiquant ainsi une conception active de l’édition, qui n’est plus l’art d’attendre avec discernement ce qui vient, comme les manuscrits qui viennent par la poste, mais l’art de faire advenir les textes qui n’existent pas encore mais doivent exister.

Dans cet esprit, les forgerons déploraient que les textes sur l’université française, notamment lors de la crise de 2009, manquaient de force, et de vision. Il y avait de bons livres, mais ils étaient conjoncturels. Nous nous sommes donc tournés vers les universitaires que nous connaissions, et leur avons dit : écrivez ce que vous pensez.

Et l’un d’entre eux, Max Buch, s’est engagé, et a écrit « Testament scolastique ».

Mus par le même souci de contribuer à la discussion collective, nous avons proposé à Gregory Mion, qui collabore régulièrement avec les forges, d’écrire un billet de lecteur sincère et critique du texte de Max Buch. Voici le texte de Gregory Mion.


Informations

  • Genre : Roman
  • 152 pages
  • Format : 13 x 20 cm
  • ISBN : 9782919176182
  • ISSN : 2101-7697
  • Date de parution : 01 Mars 2012
  • Illustration : Maxime Shelledy, « Façades n°3 », huile sur toile, 46 X 38 cm
  • Relecture : Francis Guévremont
  • Graphiste : Elena Vieillard

À propos de Max Buch

A déterminer…

Extrait

« Cinquante ans après la fermeture de la Sorbonne par décret présidentiel du 02 décembre 2014, il a paru utile de sortir de l’oubli les quelques pages qui forment le témoignage qui va suivre. Jeune germaniste exerçant alors depuis peu les fonctions de maître de conférences dans feu la célèbre université, Max Buch compta parmi les premières victimes anonymes des mesures de « cohésion nationale », dont la plus importante, le tristement célèbre serment anti-diffamatoire de respect de l’autorité démocratique, imposé avec tant de zèle et d’obstination dans la ferveur aujourd’hui si loin de nous qui fut celle de ces sombres mois de l’hiver 2014, fit d’autant plus de victimes qu’elle condamnait les réfractaires à une mise au ban, à un hors-jeu social tel, qu’excepté quelques destins remarquables comme le sien, force est de constater que les français ne s’y risquèrent guère. » (Extrait de la préface de l’éditeur.)