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L’Archiviste

De Alexandra Koszelyk

Collection : Fiction


Résumé

K est archiviste dans une ville détruite par la guerre, en Ukraine. Le jour, elle veille sur sa mère mourante. La nuit, elle veille sur des œuvres d’art. Lors de l’évacuation, elles ont été entassées dans la bibliothèque dont elle a la charge. Un soir, elle reçoit la visite d’un des envahisseurs, qui lui demande d’aider les vainqueurs à détruire ce qu’il reste de son pays : ses tableaux, ses poèmes et ses chansons. Il lui demande de falsifier les œuvres sur lesquelles elle doit veiller. En échange, sa famille aura la vie sauve. Commence alors un jeu de dupes entre le bourreau et sa victime, dont l’enjeu est l’espoir, espoir d’un peuple à survivre toujours, malgré la barbarie.

 

« L’homme au chapeau va-t-il être dupe des dissimulations de K ? L’archiviste va-t-elle sauver sa vie et celle de sa sœur ? Il faut bien sûr se plonger dans ce livre sidérant de poésie et d’actualité pour le savoir. Mais ce que l’on comprend d’emblée dans ce roman noir, c’est l’incroyable résilience des Ukrainiens, la force de leur attachement à leur terre. Et à leur culture. » Alexandra Schwartzbrod, Libération


Informations

  • Genre : Roman
  • 272 pages
  • Format : 14 x 20.5 cm
  • ISBN : 978-2-373-05655-6
  • Date de parution : 07 Octobre 2022

 

Première sélection du Prix JACQUES-ALLANO 2024

Lauréat du Prix VLEEL 2022

 

Émissions :

 

À voix haute, présenté par Mérédith Le Dez, Bretagne 5 : L’archiviste – Alexandra Koszelyk (29/10/2022)

VLEEL 210: Rencontre littéraire avec Alexandra Koszelyk, L’archiviste, Aux forges de vulcain

On est fait pour s’entendre, RCF Radio : Yannick Blavette reçoit Alexandra Koszelyk pour son dernier roman « L’archiviste ».

Enregistrement de la rencontre avec l’autrice à la librairie Hisler, Metz.

Présentation du roman par l’autrice, auprès de la librairie Mollat.

 

Les coups de cœur :

 

« Magnifique texte de résistance, intense et fiévreux. » (Le Régional
– « Ukraine : un livre pour résister »)

 

« Un hymne puissant et militant à la culture dans un pays en guerre. » (Libriaire La Bicyclette bleue – Paris 20e)

 

« Cet ouvrage est un hommage à la résistance d’un peuple sous toutes les formes qu’elle peut prendre. C’est très beau, très émouvant, très poétique… » (Stéphanie Gauthart, libraire au Jardin des mots à La Brède)

 

 » Un roman onirique et touchant, un livre de résistance et un émouvant hommage à l’Ukraine. » (Sylvie – Voyages au fil des pages)

 

« Dans L’Archiviste, la bibliothèque est plus qu’un temple du savoir. C’est un refuge pour toute une nation. » (Laurant Pfaadt – Hebdoscope, Bibliothèque ukrainienne épisode 4, entretien avec l’autrice.)

 

« A travers ce texte, fort et poétique, engagé, presque viscéral, Alexandra Koszelyk répond, à sa manière, à une question fondamentale : en dehors des êtres humains eux-mêmes, qu’est-ce qui est constitutif d’un peuple, d’une identité ? C’est brillant, c’est beau, c’est humain, et c’est surtout précieux et indispensable… » (Alexandre Bourg – Garoupe)

 

« Ce récit fantasmagorique à la fois brûlant d’actualité et intemporel ouvre une réflexion universelle sur notre rapport à l’Histoire, à l’identité, à la mémoire, à nos racines, à notre capacité de résistance.
A lire absolument !! » (Librairie La Portée des mots au Salon de Provence)

 

« Un bel hommage à la culture et à l’identité d’une nation. » (Coup de cœur pour Noël de la librairie Montaigne – Bergerac)

 

« Un roman « brûlant » d’actualité, essentiel et passionnant qui nous fait sentir intimement la tragédie d’une guerre, qui est aussi culturelle. » (Librairie L’Escapade – Oloron-Sainte-Marie)

 

 » Le roman se déroule en Ukraine, en temps de guerre. L’identité de l’ennemi et occupant n’est jamais mentionnée. Le personnage principal s’appelle K. C’est une jeune femme archiviste qui a participé au sauvetage du patrimoine ukrainien.
Le lecteur plonge avec elle dans l’histoire de l’Ukraine, tout un imaginaire surgit et des ombres apparaissent… » (Joëlle Buch – Sélection des 10 livres coup de cœur de lecteurs.com, Fondation Orange)

 

« Le roman d’ Alexandra Koszelyk est un hommage à l’Ukraine mais aussi un cadeau inestimable offert à ses lecteurs. En puisant dans l’histoire familiale, dans l’histoire nationale, elle nous livre un récit à la fois intime et universel: le récit d’une résistance, celui d’une identité.
À mettre entre toutes les mains ! » (Monica – Addict Culture)

 

« K, une grande héroïne solitaire qui mieux que n’importe quel récit de guerre, symbolise la force, la résistance, le courage dans la mission qu’elle s’est donnée, défiant la mort et l’adversaire. Un remarquable objet de réflexion sur l’identité, par la langue et la culture, par l’histoire que chaque être porte en lui. » (La Livrophage – Lire en campagne)

 

« En mettant l’archiviste au centre des enjeux de la pérennité de l’identité ukrainienne, l’autrice rejoint les valeurs universelles de la Mémoire, oppose le patrimoine et la culture comme ultimes remparts à l’anéantissement et au révisionnisme de tous les héritages. En ce sens, elle est plus militante que doctrinaire. Deux conceptions de l’Homme s’affrontent : l’un, asservi et formaté, l’autre, libre et créateur. L’autocratie sème la désolation et va jusqu’à rendre étrangers les habitants dans leur propre pays. » (Gilbert Coutaz – Directeur honoraire des Archives cantonales vaudoises)

 

« Aucun essai de géopolitique, aucun débat télévisé ne pourra mieux éclairer, rendre compréhensible la tragédie d’une culture menacée. De la culture Ukrainienne. L’Archiviste, un texte à lire, à défendre et à offrir, à paraître le 7 octobre. » (Monica Irimia – Librairie Mollat, Bordeaux)

 

« Alexandra Koszelyk crée une mise en abyme kaléidoscopique qui fait entrer en résonance les questionnements esthétiques et humains de ces artistes avec ceux de K pour constituer finalement un écho à sa propre volonté de résistance et d’affirmation d’identité. L’Archiviste est un grand roman qui revendique que même si « la nuit [est] tombée sur l’Ukraine », « l’Ukraine n’est pas morte ». » (Marie Michaud pour Pages des libraires – Gibert Joseph Poitiers)

 

« Stylistiquement, j’adore toujours autant le travail d’Alexandra Koszelyk. Les mots sont choisis avec précision et l’atmosphère du roman est vraiment particulière, envoûtante. Un roman coup de poing, à lire sans modération. » (Amandine – Aufil des plumes)

 

« Cette histoire est poignante, elle nous ouvre les portes de ce pays qu’on connaît si peu, et de tout ce qu’il a déjà endure par le passé.
C’est un hymne à la résistance et au désir de liberté. À lire absolument et de toute urgence. » (Sandrine – Fnac Grenoble)

 

« La plume d’Alexandra Koszelyk m’a encore une fois bouleversée. Je ne peux que vous conseiller de lire ce roman, ce chant d’amour, et lorsque vous entendrez parler de l’Ukraine dans les médias, à vous renseigner, chercher, encore et toujours, la vérité, trop souvent cachée. » (Lia Livres – Gibert Joseph Saint Michel, Paris 06)

 

« Un appel à la résistance et une ode à la littérature et culture ukrainienne. Fabuleux ! » (Sarah – Librairie Filigranes à Bruxelles)

 

« Aux côtés de K, je me suis rappelée que l’héroïsme pouvait prendre bien des formes et que l’invisible existe. Au milieu du chaos, toutes les âmes de papier flottant dans ce livre ont accompagné mon voyage. Car c’est bien d’un voyage qu’il s’agit: celui d’une flamme qui ne s’éteindra jamais tant qu’il y aura une voix, un souffle, une marque même infime, même dissimulée sous des couches de poussière mensongères. » (Kanoubook)

 

« Un roman original et émouvant, avec une héroïne dont l’intelligence égale le courage patriotique. La lutte contre le mal et contre la destruction d’une culture tout entière rappelle tant de pages historiques qu’on ne peut que suivre avec effroi la lutte que livre K. contre la soumission. » (En lisant, en écrivant)

 

« Hommage à l’Ukraine, au courage et à la résistance de son peuple. Il y a tellement de raisons d’offrir – ou de s’offrir – L’Archiviste. » (Fabienne – Librairie Le Bruit des Mots à La Flèche)

 

« Une écriture qui, tel un chant séraphique, côtoie l’horreur de la guerre et son feu destructeur tout en instillant une mélodie qui ne nous quitte pas : celle de la mémoire et du souvenir éternel. » (Joalie Merten – joalie.donc.je.suis)

 

« Alexandra Koszelyk, elle a trouvé avec ce récit un formidable moyen de nous faire découvrir la richesse de la culture ukrainienne. En suivant K jusque dans le processus créatif, en entrant littéralement dans les œuvres, elle fait à son tour œuvre de résistance. […] C’est comme ça qu’Alexandra est grande et que nous sommes tous Ukrainiens! » (Henri-Charles Dahlem – Collection de Livres)

 

« Nous voici de plain-pied, émerveillés et un peu honteux, parmi ces esprits qui ont fait l’Ukraine, ses événements, ses couleurs, ses parfums, sa terre. La romancière leur rend vie dans la langue pure de l’émotion et de la fierté de rester soi, en feignant de plier comme le fait son héroïne. L’hommage est celui d’une résistante. » (C.B. et J.G. – Les Notes)

 

« J’ai beaucoup aimé ce livre engagé qui résonne tout particulièrement dans l’actualité. Ce roman à dimension universelle est aussi un hommage à la résistance du peuple ukrainien. » (Joellebooks – Blog Littéraire)

 

« Un texte puissant écrit dans l’urgence de la situation : sauver un peuple, son territoire, son histoire, son identité, sa langue, sa mémoire, ses rêves, son désir d’avenir et de liberté. Magnifique ! » (Librairie La Portée des Mots, Salon de Provence)

 

« Un très beau texte, émouvant, qui dénonce l’entreprise russe d’anéantir l’identité ukrainienne et rend hommage à la combativité du peuple ukrainien pour faire rempart et maintenir coûte que coûte son âme, son héritage. Je vous le recommande. » (Lilia Tak-Tak – La Madeleine de livres)

 

« Encore une fois, Alexandra Koszelyk se fait conteuse, avec l’intelligence, la poésie et l’énergie d’une écriture engagée, qui, malgré la noirceur du drame qui se joue, éclaire de la vivacité et de la justesse de ses mots un roman nécessaire à qui veut découvrir la culture ukrainienne. » (Eric – Kikenbook)

 

« Un miroir de ce que peuvent être la littérature et l’art, même, surtout, en temps de guerre. Un portrait de l’écrivain en résistant.
Joie de retrouver Alexandra dans ce roman très réussi. » (Librairie Des Gens Qui Lisent – Sartrouville)

 

« Si ‘la nuit est tombée sur l’Ukraine, l’Ukraine n’est pas morte…’ C’est ce que démontre le très beau roman d’Alexandra Koszelyk. » (Librairie le Failler – Rennes)

 

« Alexandra Koszelyk rend un bel hommage à la culture et l’identité d’une nation. » (Carole Peltier, Librairie Montaigne – Bergerac)

 

« Inutile de préciser le contexte actuel, ce livre est une brèche poétique dans le marasme qu’est ce conflit. Chaque chapitre est une numéro d’équilibriste réussi. Après l’amour de l’être, du poète, voici là, l’amour du pays. L’archiviste est une déclaration d’amour sincère, et douloureuse. » (Apcalipticart)

 

« Ce roman en plus d’être criant d’actualité est aussi une hymne à l’Ukraine mais aussi au fait que l’art est indispensable à l’histoire d’un pays, à la force d’un peuple. » (Pauline Romanowski, Librairie Guerlin – Reims)

 

« L’Archiviste est un hommage émouvant à la nation ukrainienne. » (Littéraflure)

 

« Cet opus est à la fois une ode à la liberté et à la civilisation dans sa substantifique moelle, c’est un chant qui s’engouffre, lyrique, dans les dernières séquelles et interstices d’un esprit réfractaire à toute emprise totalitaire! » (Polarmaniaque)

 

« Le récit d’Alexandra Koszelyk n’est pas une enquête au sens normal du terme. Il s’agit plus d’une allégorie jouant sur la noirceur, les pressions politiques et même contenant une certaine atmosphère fantastique (l’homme apparait et disparait comme un diable, connait des choses qu’il ne devrait pas connaître). Le tout crée un roman qui lorgne plus du côté sombre et froid de Franz Kafka (le nom de l’archiviste n’est surtout pas un hasard) que du polar. Ceux qui apprécient l’allégorie, le côté dystopique d’un récit où la réécriture du passé peut conditionner l’avenir (1984 conditionnait ainsi le présent), le rôle des dictatures et une ambiance de guerre, trouveront forcément un intérêt à ce récit classique dans le fond et la forme. » (K-libre)

 

« Ce roman a été l’un des coups de cœur des lecteurs fin 2022. » (Lecteurs_com)

 

« Quel roman!!!! Ce fut un coup de cœur. […] La plume de l’auteure est fluide, tranchante et poétique à la fois. » (Les Lectures d’Alexandryne)

 

« Un roman qui fait écho à l’actualité. Un hymne à la liberté et à l’espoir. Une découverte de l’histoire et de la culture ukrainienne. À découvrir ! » (Coup de cœur de Pauline, Librairie Le Monde d’Arthur à Meaux)

 

Coup de cœur de Dylan, libraire à Gibert Montpellier

 

« « L’archiviste » nous rappelle que toute guerre est idéologique, qu’elle n’est pas uniquement la destruction des corps mais aussi la destruction de ce qui fait l’âme de ces vies.
C’est oublier qu’il est difficile d’effacer complètement une culture car elle laisse des traces quoi qu’il arrive. Il peut se passer dix, cent, mille ans, on finit toujours par trouver quelque chose. »

Virginie_Vertigo sur Instagram

 

« Un moment de lecture à la fois angoissant et doux, où l’héroïne est déchirée entre sa mère malade, sa sœur emprisonnée, et la sauvegarde de l’art et de l’histoire de son pays. Ce roman a obtenu le Prix Vleel 2022, et ce n’est pas usurpé. »

La Plume démasquée sur Instagram

 

À propos de Alexandra Koszelyk

Alexandra Koszelyk est née en 1976. Elle enseigne, en collège, le français, le latin et le grec ancien.