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Pour les femmes

De Thomas Rain Crowe

Collection : Fiction


Résumé

Thomas Rain Crowe, poète américain post-beatnik, retrace les histoires d’amour qui ont marqué son existence, dans ce roman d’apprentissage en forme d’autobiographie amoureuse.

Six chapitres, six femmes qu’il a passionnément aimées, six périodes de sa vie dont il fait le portrait. Tour à tour jardinier dans un couvent près de Grenoble, ouvrier agricole dans les vignes californiennes, poète beatnik à San Francisco, chauffeur de bus dans le Sud des États-Unis, Thomas Rain Crowe nous fait découvrir des personnages tous plus variés, intrigants et romanesques les uns que les autres.

Il nous propose ainsi le récit, tendre, simple et drôle, du long chemin que, depuis son enfance jusqu’à ses soixante ans, il a dû parcourir pour trouver la femme de sa vie.

« Tout ce que l’on fait dans la vie, même si l’on donne d’autres raisons, on le fait pour les femmes. »

Hermann Hesse

 


Informations

  • Genre : Roman
  • 115 pages
  • Format : 13 x 20 cm
  • ISBN : 9782919176410

 

  • Titre original : House of Girls
  • Traduction : Antoine Bargel
  • Illustration : Elliott Landy, Woodstock, Bethel, NY, 1969
    Cover photo © by Elliott Landy/Landyvision.com
  • Relecture : Francis Guévremont
  • Graphiste : Elena Vieillard
  • Seconde édition, revue et corrigée

À propos de Thomas Rain Crowe

Thomas Rain Crowe, né en 1949, est un poète, traducteur et éditeur américain. Son oeuvre étendue s’inscrit dans deux courants majeurs de la littérature américaine, la Beat generation (il fut ainsi un « baby-beat » et participa dans les années 1970 à l’effervescence intellectuelle de San Francisco) et le bio-régionalisme (il a ainsi été distingué, en 2012, à la fois par le public et le jury des Eco Arts Awards, pour son essai écologisteWhat is Sacred.)

Extrait

« Je me demande toujours pourquoi, parmi toutes les femmes de France, je suis tombé amoureux d’une bonne sœur. À l’époque, j’avais trouvé un boulot de jardinier dans un couvent près de Grenoble. J’avais décidé de quitter Paris, faute d’y avoir trouvé d’autres poètes ou un emploi rémunéré. Paris, en 1972, était encore plein de fantômes littéraires, d’une architecture exaltante et de femmes splendides, mais aucune de ces beautés locales n’était pourvue de l’héritage approprié aux besoins d’un Américain bohème, post-beatnik et candidat à l’expatriation, fraîchement descendu des montagnes de Caroline du Nord. »