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La presse en parle

Nous tous sommes innocents

De Cathy Jurado-Lécina

Collection : Fiction

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« Cette guerre qui, sans que l’on sache bien ce qu’il y fait, laissera des failles béantes dans son esprit, qu’il tentera de combler en gravant dans le bois tous les mots qui le déchirent de l’intérieur. » (Alice Béja, Esprit, mai 2015)

 

ESPRIT complet

« Ce roman, très bien écrit, construit sous forme de tragédie, nous plonge dans la vie de Jeannot, qui fera le deuil de tous ses espoirs d’amour, de travail et de vie, et cela jusqu’à glisser dans la folie. » (Stéphane Rio)

 

NTSI - SNES

« La lecture a été une expérience violente et puissante, j’ai adoré. C’est, je le crois, la première fois que l’expérience de la lecture me pousse aussi loin. Je remercie l’auteur et son éditeur pour ce moment. » (La suite, ici)

« C’est l’histoire incroyable mais vraie de Jean, jeune paysan qui sombre peu à peu dans la folie. Il se laissera mourir de faim tout en gravant les mots de sa folie sur le plancher de la chambre… Poignant! »

 

 

DELAMAIN NTSI

 

« Un premier roman attachant, réussi, dont la grande force est qu’il demeure longtemps en notre mémoire, bien des semaines après sa lecture. Ce qui est rare et annonce l’éclosion d’un écrivain. » (la suite, ici)

« Un livre que j’ai trouvé magnifique, qui ne glisse jamais dans l’émotion fabriquée, et le glissement vers la folie de ce personnage est très très bien décrit. C’est une petite merveille, le bon mot à la bonne place, sans en faire trop« . (Jean-Baptiste Hamelin, Le Carnet à spirales, Charlieu, sur France Bleu Saint-Etienne Loire, le 07/05/2015)

« Glané sur le stand des éditions Aux Forges de Vulcain présentes pour la première fois à l’Escale du livre, ce premier roman est une très bonne surprise. » (la suite, ici)

« Nous tous sommes innocents est certes un roman sombre qui peut effrayer, mais il dit quelque chose de nous. Il exprime la violence, l’immuabilité de la reproduction sociale, l’enfermement lucide de celui qui aspire à la culture et à l’art et qui doit pourtant travailler inlassablement la terre. Il en dit long sur le besoin d’être quelqu’un d’autre, de s’extirper des repères familiaux qui nous imprègnent profondément et qui se dressent parfois comme des prisons mentales. » (la suite, ici)

« Il s’agit d’un premier roman très beau, très sensible, qui traite de la folie avec la plus grande dignité, sans que le terme soit vraiment utilisé, pudiquement. » (la suite, ici)

« On ne peut qu’être bouleversé par ce destin, inspiré d’une histoire vraie. » (Infirmière libérale magazine, juillet-août 2015)

 

« Nous sommes tous innocents frappe dès les premières pages. Outre le style (dont je parlerai plus tard) qui prend aux tripes, une superbe présentation des protagonistes (un par chapitre) met dans l’ambiance : celle d’un monde agricole rude et sans pitié où contraintes de la vie paysanne et méchanceté des habitants rivalisent d’ingéniosité pour foutre en l’air un être sensible qui, dans un autre milieu, aurait pu devenir un grand écrivain.  » (la suite, ici)

« Ce titre, je le trouve magnifique. Magnifique, c’est tout. Il est plein de poésie, dans une belle simplicité. » (la suite, ici)

« Nous tous sommes innocents est un cri, dur, presque bestial, irrémédiablement triste contre le conditionnement engendré par notre naissance, le poids de la famille, et des autres, qui peut lentement conduire à la folie, à la destruction. » (la suite, ici)

Roman sélectionné dans la liste des 35 meilleurs premiers romans de l’année 2015. Sélection réalisée par les bibliothécaires et les lecteurs des bibliothèques de la Ville de Paris (la suite, ici)

« Nous tous sommes innocents est un livre obligatoire, qui réinterroge notre rapport à l’autre et à la raison, et révèle une auteure à la plume brillante et à l’intelligence fine. » (La suite de l’article, ici)

« C’est avec un style simple mais à l’atmosphère pesante et glauque parfois que l’auteur nous embarque dans le récit de cette famille grignotée par la folie et l’isolement ou en quelques années rien ne lui sera épargné. La vie de Jean pourrait être vue comme une tragèdie. Un roman singulier. »  (David Goulois libraire à Cultura Chambray-lès-Tours)

« Découvrez la vie de Jeannot fils de fermier dont le terrible destin le poussera à graver l’intégralité de son parquet. Un roman qui prend aux tripes ! » (COUP de COEUR d’Emilie, libraire à la Manoeuvre)

« C’est un roman qui est très fort, et qui décrit cela [l’isolement et la folie] magnifiquement. [..] Ce qui est épatant dans ce roman, c’est cette maîtrise, comment l’auteure décrit très précisément comment tout se dégrade, petit à petit, jusqu’à la folie. C’est là où c’est vraiment passionnant. » (Aurélie Janssens, Librairie Page et Plume, à Limoges sur France Bleu Limousin)

« Un roman poignant qui montre la chute d’un homme qui avait tout pour réussir. » (COUP DE COEUR de Marie-Cécile, Librairie 47° Nord, à Mulhouse)

« Tout émeut et bouleverse au contraire tant est grande la maîtrise de l’ensemble qui, pour être constitué de matériaux identifiables, n’en dégage pas moins une sincérité, une empathie avec les personnages et un sens de la narration d’une grande fluidité. «  (Mari Jo Dho, Zibeline)

« Par ses phrases concises, percutantes, [Cathy Jurado-Lécina] arrive à créer un texte quasi poétique (la poésie peut naître de la douleur, non ?), en tous cas envoûtant, qui prend aux tripes« . (Blog Lire et relire)

« Trajectoire tragique d’une vie de solitude, d’incompréhension, de douleur, de folie, un cri déchirant à la Münch, aussi terrible que stupéfiant. Un premier roman émouvant particulièrement réussi qu’on lit d’une traite jusqu’à sa fin très singulière et inoubliable. »

LECTURE DE LA PREMIERE PAGE DU ROMAN.

« Ce texte, d’une simplicité qui n’est qu’apparente, voit sa forme changer progressivement, jusqu’à nous apparaître dans toute sa puissance et nous toucher profondément, grâce à l’empathie dont l’auteur fait preuve à l’égard de ce personnage bouleversant […] » (Vincent Ladoucette, Addict-Culture)

« Inspiré d’une histoire vraie, ce roman fort restitue très bien un milieu rural dur, ses vicissitudes, ses secrets de famille. Voilà un texte qui prend aux tripes […] » (Delphine Peras, L’EXPRESS).

« Un texte ténu et bouleversant. » (Céline, Librairie Prado Paradis)

« […] une écriture très maîtrisée donne vraisemblance à ce récit impeccablement mené de la descente inexorable vers la folie d’un homme prisonnier. […] Une histoire qui prend aux tripes. » (Notes bibliographies, mars 2015)

« Ce livre m’a habité longtemps encore après que je l’ai refermé. L’impression d’avoir approché quelque chose de grand, de vertigineux, et ce qui rajoute aussi au trouble, à quelque chose d’assez banal aussi. Les personnages le sont. Ils n’ont rien d’extraordinaire ; ce sont des hommes et des femmes ordinaires, dont la bêtise et l’aveuglement sont ordinaires. Il nous semblerait même pouvoir les connaître, transposés dans notre époque. Histoire tragique d’un homme cerné par son histoire, où l’on assiste à ces portes qui se ferment les une après les autres, la folie qui rôde, qui prend corps… » (Delphine, Librairie du Café Plùm​)

 » Le roman interroge sur la folie sans échappatoire possible, sa proximité avec la création artistique, mais aussi l’influence de la famille et de la société qui s’invitent dans l’histoire à l’instar du chœur dans la tragédie grecque.  » (la suite, ici)

 

AFDV - Cathy journal

« Ce roman soutient les valeurs que l’on retrouve dans la plupart des romans édités dans cette maison d’édition. La première c’est la grande qualité de l’écriture, avec comme à chaque fois une spécificité, un travail de la langue. Les personnages sont forts et perdus dans leurs choix. La famille, les non-dits et la religion, le regard de la communauté viennent exacerber les tensions entre ce que pensent les protagonistes et leur marges de manœuvre. » (la suite, ici)

« Dès les premières pages, j’ai apprécié la plume de l’auteure. Un style fluide et agréable à lire qui nous donne envie de découvrir l’histoire qu’elle veut nous raconter. » (la suite, ici)